Grand hôtel avec une fidèle clientèle, restaurant étoilé reconnu, mais pourquoi donc ne pas se contenter de son propre succès sur le mode « vivons heureux, vivons caché ! » ? Parce que dans nombre de pays, l’économie solidaire n’est pas une option, mais une impérieuse nécessité.
Quels souvenirs gardez-vous de la cantine scolaire ? Il est à craindre qu’un pourcentage très majoritaire de réponses spontanées commence par une onomatopée du type « beurk ». Et pourtant, l’éducation des enfants à une bonne alimentation a ses militants, et la cantine est leur salle de classe.
Depuis quelques années, de scandales alimentaires à la chaîne en passant par les pesticides cancérigènes, les lanceurs d’alerte accélèrent la cadence. Et par voie de conséquence, le bio se voit ouvrir des autoroutes de marchés prometteurs. Mais attention à la surchauffe !
Vous connaissez la pomme de terre de Godia ? Et les herbes aromatiques qui poussent sur les rochers de la côte amalfitaine ? Vous imaginez un jardin potager sur l’île mythique de Capri ? Et oui, l’Italie regorge désormais de locavores éclairés qui changent le paysage traditionnel de la botte.
Imaginez un hôtel avec un golf où les joueurs peuvent frapper leurs balles en direction d’un ponton flottant et où toutes les balles sont fabriquées à base de nourriture pour poissons qui se dissolvent dans l’eau après 48 heures. Stupide ? Non, une pierre de plus à l’édifice d’une planète durable.
En ces temps où un certain nombre de populations du monde arabe sont ostracisées pour des questions religieuses ou parce qu’assimilées à tous les fanatismes, rappelons-nous que leurs traditions d’hospitalité et de convivialité sont légendaires.
Tim Lang est professeur de Politique alimentaire et co-auteur avec Erik Millstone de L’Atlas de l’alimentation. Il nous explique les conséquences du Brexit sur l’alimentation et l’agriculture au Royaume-Uni.
Nous sommes en 2050 et les 9 milliards de terriens mangent tous à leur faim grâce au Soylent, ce liquide inventé en 2013 par des bio-chimistes américains qui apporte à l’homme tous les nutriments dont il a besoin. Manger n’est désormais plus un plaisir quotidien. Science-fiction ? À moins que...
On aime tous aller au marché ! Bon d’accord, c’est mieux si le coin est joli avec des petits bars autour pour se récompenser de l’effort.
5 000 délégués venus de 160 pays vont rejoindre Turin pour la 11ème édition de Terra Madre Salone del Gusto. La manifestation n’est pas seulement le plus grand événement consacré à la culture alimentaire mais le lieu où se pense notre planète, mère nourricière, ou pas, des futures générations.
Un certain nombre de Chefs se sont donnés comme objectif d’en finir avec les fruits ou les légumes qui ont parcouru la moitié de la planète avant d’arriver dans votre assiette.
Si on veut bien s’en donner la peine, Séoul a ses secrets, ces endroits magiques où les âmes des anciens sont encore perceptibles.
Du champ à l’assiette : zéro kilomètre. C’est le challenge que certains cuisiniers ont décidé de se donner en devenant également chef de jardin.
À l’UNESCO, à l’occasion de la Journée mondiale des océans, Olivier Roellinger remettait les prix d’un concours co-fondé par SeaWeb Europe et Ferrandi-Paris en partenariat avec le lycée hôtelier de Dinard et Relais & Châteaux.
Rencontre avec Christian Rambaud, haut fonctionnaire de l’Union Européenne, avec qui nous nous sommes entretenus de diverses questions sur la pêche.
Cela fait plus de trente ans que Patricia Ricard, infatigable militante de la protection de l’environnement relève les défis les uns après les autres.
Mer du nord, Manche, Méditerranée, Mer de Chine, Pacifique, pas un mois sans que les scientifiques de la planète nous alertent sur la disparition progressive du poisson sauvage. Faut-il s’en inquiéter ? Assurément. Peut-on agir ? Très certainement.