Une abbaye, oui, sans conteste, mais une belle demeure également, aussi lumineuse à l’intérieur qu’à l’extérieur. La pierre délicatement rosée accroche les moindres rayons du soleil ; le parc se réchauffe à leur contact et salue les premiers émois du printemps.
La chambre est à elle toute seule un conte de fée. La combinaison du lieu et de la décoration nous transporte dans nos souvenirs d’enfance où les vaillants princes se battaient pour le cœur de la princesse. Tout un programme !
Une abbaye, oui, sans conteste, mais une belle demeure également, aussi lumineuse à l’intérieur qu’à l’extérieur. La pierre délicatement rosée accroche les moindres rayons du soleil ; le parc se réchauffe à leur contact et salue les premiers émois du printemps.
Dès l’entrée du parc, j’ai été attiré par cette bâtisse somptueusement rénovée. Pas de doute possible, c’est une ancienne abbaye mais la composition du jardin et le réaménagement architectural donnent l’impression d’une belle et grande demeure où il fait bon vivre.
À l’intérieur, l’attente n’est pas déçue, on ne plaisante pas sur l’appellation ! Les anciens vitraux donnent une atmosphère très lumineuse à cet agréable salon. Un vrai plaisir pour les yeux !
Les vues sur le jardin n’ont rien à envier à la première impression. Le parc est richement décoré de bassins ; un rayon de soleil, un bon livre et le programme de l’après midi est bouclé.
Deux poneys se baladent librement dans le parc. Petits ou grands, la magie opère.
Et la cuisine ? Un vrai délice ! Gastronomique le soir et bistronomique en journée, un régal pour les yeux et les papilles grâce au savoir faire du tout nouveau chef de l’établissement, Guillaume Royer, Meilleur Ouvrier de France 2015.
Peut-on rêver mieux qu’une partie d’échec pour parfaire le tableau d’une échappée bucolique ?
